The CTRL + V Game

That's a pretty looooooong creepypasta.
[Le nom du site sur lequel a ?t? retrouv? ce t?moignage n'a pas ?t? communiqu?.]
05/04/15 > par George Loison.

Bonjour cher journal, heureux de te rencontrer. Moi c'est George, j'ai dix-sept ans. Je t'?cris... Parce qu'il le faut. Je vais devenir dingue. Je ne peux en parler ? personne ; ?a se finit toujours mal. Pourtant, il faut que j'?vacue tout ?a ; ce que je ressens, ce qui reste enferm? dans ma t?te...
Il faut que je te raconte une histoire. Une histoire horrible : la mienne...

Tout a commenc? dix ans plus t?t. J'?tais encore un petit gamin na?f. Je n'?tais cependant pas un gar?on turbulent, ? l'?poque. Je ne l'ai d'ailleurs jamais ?t?, pas m?me ? l'adolescence. Je suis rest? calme. Je suis ce que les gens appellent le plus souvent "un gar?on mature". Mais mon calme n'a jamais rien eu ? voir avec ?a ; la maturit? ou l'intelligence. Cela dit, ?a fait partie de ce dont je n'ai pas le droit de parler. Et de toute fa?on, je m'en fiche de ce que pensent les autres. Ce n'est pas du tout le probl?me !
Comme je disais, j'?tais tr?s sage. Les instituteurs ne me faisaient presque aucune remarque. Dans toute ma scolarit?, les enseignants ont toujours ?t? tr?s respectueux envers moi. Pourtant... J'en ai tu? un. J'avais seulement sept ans.
C'?tait le 13 mai 2005. Un mardi.

Mon meilleur ami, Jimmy, n'?tait pas venu ? l'?cole, mais je redoutais d?j? de savoir pourquoi. Je ne voulais pas y croire, mais comme c'?tait toujours la v?rit?, je savais bien que ?a ne servait ? rien d'esp?rer.

Et, au fur et ? mesure de l'avancement de la journ?e, mon appr?hension augmentait. Comme personne ne semblait au courant de la m?me chose que moi, j'ai fini par croire que, pour une fois, ?a pouvait ?tre diff?rent !

?a aurait ?t? tellement bien, mon journal ! Tellement g?nial si ?a avait ?t? le cas ! Que tout s'arr?te, que je redevienne un gamin comme les autres, qui peut faire des conneries sans avoir peur de ce qui vient apr?s !

Cet espoir m'a envahi, m'a submerg?. Je voulais y croire, de toutes mes forces...

Comme mes parents ? me pensant eux aussi "mature" - me faisaient confiance, d?j? ? cette ?poque, je rentrais seul chez moi apr?s les cours. Et ce jour-l?, j'ai d'abord d?cid? de trouver mon institutrice principale, madame Lafleur, pour lui demander ce qu'elle savait sur l'absence de Jimmy.
J'avais tellement peur. Ce genre d'angoisse qu'on a, et qui nous fait faire n'importe quoi. C'?tait exactement ?a, et j'ai vraiment foutu le bordel. Aujourd'hui encore, en y pensant, j'ai des frissons.
Je lui ai demand? de but en blanc si c'?tait vrai que le p?re de Jimmy avait eu un accident tr?s grave, qui l'avait tu?. J'ai demand? si c'?tait bien pour ?a que Jimmy n'?tait pas venu en cours ce jour l?.

Je suis all? droit au but, sans la moindre forme de d?licatesse ? si tant est que j'?tais capable d'en avoir ? cet ?ge. L'institutrice ?tait, quant ? elle, devenue livide comme un cadavre. On aurait dit qu'elle venait d'avoir eu une attaque. Elle tremblait, et j'ai alors compris que sa bonne humeur de la journ?e ?tait trop exag?r?e pour ?tre sinc?re. Elle ?tait artificielle !
Non... Je ne l'ai pas compris moi-m?me, mais tu verras ?a plus tard, mon cher journal.
Mais ce que je redoutais ?tait encore une fois arriv?. Mes espoirs se sont imm?diatement ?vapor?s.
J'ai su que c'?tait vrai, encore une fois. Et je me suis mis ? fr?mir.

Elle a ni?, disant que que Jimmy avait juste un peu de fi?vre et que son p?re allait tr?s bien. Mais sa voix tremblait. Elle racontait des histoires, un enfant de cinq ans l'aurait remarqu?. Moi, j'?tais d?pit?, triste, paniqu?. Je ne faisais plus du tout attention ? ce que je disais.

J'ai alors commenc? ? lui crier dessus, ? lui hurler qu'elle mentait, que je le savais et qu'elle se moquait de moi. ?a l'a d'abord ?tonn?e. Elle est rest?e ?tonnamment calme pour quelqu'un qu'on engueule de cette fa?on. Puis elle m'a demand? comment je le savais.

Et l?, je l'ai dit. J'ai r?pondu que c'?tait Elle qui me l'avait dit la nuit derni?re.
J'en avais d?j? beaucoup trop dit. Il ?tait trop tard.
Elle m'a demand? de quoi je parlais, l'air perplexe.

Je ne pouvais pas revenir en arri?re, alors je lui ai tout racont?, ? contre-c?ur.
Je lui ai dit que c'?tait un ?tre dont je ne connaissais ni le nom ni l'apparence v?ritable, qu'Elle venait tous les soirs me murmurer des choses sur mon avenir, me r?v?ler quels ?v?nements tragiques risquaient d'arriver le lendemain. Je lui ai ?galement dit que jamais Elle ne m'avait racont? de choses fausses.

De plus en plus bl?me, elle m'a demand? depuis combien de temps j'entendais cette voix, mais je n'ai pas voulu r?pondre.
Il ?tait trop tard, le mal ?tait fait. Je savais que la personne en face de moi, cette innocente enseignante, allait mourir. Je me suis mis ? pleurer ? chaudes larmes.
Elle m'a dit que je n'avais rien fait de mal, elle a essay? de me consoler, mais je n'ai pu que r?pondre d'une voix faible que j'?tais d?sol? et que je devais partir.
Et je me suis enfui de la classe, avant qu'elle ait eu le temps de m'en emp?cher. Je savais bien qu'elle passerait sa soir?e ? se poser des questions ? mon sujet...
Maintenant que j'y pense, ?a aurait pu ?tre encore plus grave. Madame Lafleur aurait pu r?p?ter ce que je lui avais dit ? d'autres personnes... Je crois que je ne m'en serais jamais remis.
La nuit suivante, Elle est revenue, celle qui me parlait. Elle ?tait furieuse contre moi, mais n'en a rien dit. Elle s'est content?e de me murmurer des choses de sa voix horrible, en me caressant d'une fa?on tr?s malsaine, comme un psychopathe l'aurait fait... Comme toujours.
''Ne t'amuse pas ? aller jusqu'? l'?cole demain, mon petit George. Madame Lafleur ne pourra pas donner son cours demain. Ni plus jamais...''
J'avais envie de sangloter, car je savais que ?a allait arriver. Mais je ne l'ai pas fait. J'ai essay? de rester de marbre devant Elle. Mais, apr?s m'avoir dit ?a, Elle m'a regard? droit dans les yeux. C'est tr?s rare quand Elle le fait car, la plupart du temps, on n'entend que sa voix. Elle n'a pas vraiment de corps physique. Enfin si... Mais Elle ne s'en sert que tr?s rarement. Et c'est toujours terrifiant.
Ce jour-l?, je voyais mon institutrice, un couteau dans le ventre, baignant dans son propre sang, encore parcourue de spasmes. Et Elle ?tait derri?re, et lui murmurait des choses. Elle lui disait que mentir, c'?tait aussi mal pour un enfant que pour un grand. Le spectacle ?tait insoutenable, mais je n'avais pas le choix. Je devais attendre qu'Elle me lib?re.
Et la vision m'a terrifi?, et me traumatise encore aujourd'hui. Mais pas parce que je voyais la mort ; parce que je savais que c'?tait en partie de ma faute.
Quand j'ai perdu le contact avec son esprit malsain, j'ai encore entendu son horrible voix...
''Tu ne dois JAMAIS parler de moi. Sinon, je devrai le tuer. Tu connais la r?gle, pourtant, mon petit George.''
Et Elle avait raison : Elle tuait tous ceux ? qui je parlais de son existence. Moi, elle ne pourra jamais rien me faire, car elle est ? mon "service" depuis ma naissance. Un ?tre sup?rieur, tr?s certainement un d?mon, l'a enchain?e ? moi pour qu'elle me murmure des choses sur le monde, le futur, et les v?rit?s que tout le monde veut me cacher. Elle me souffle les r?ponses de toutes les questions que je me pose, m'avertit de tous les drames ? venir, et ne me fait jamais le moindre mal.
Mais elle tue sans piti? le premier ? qui j'en parle.
Quand je suis revenu ? l'?cole, le lendemain, madame Lafleur n'?tait pas l?.
Elle avait fait son ?uvre.
Nous avons ?t? sans enseignante pendant une semaine, pour qu'ils nous trouvent une rempla?ante, et nous sommes rest?s chez nous. Pour toute la classe, c'?tait une joie. On ne leur avait rien dit, et ils ne savaient qu'une chose : ils n'avaient pas de cours. Mais moi, je restais dans ma chambre. Je ne voulais parler ? personne. Je savais pourquoi notre institutrice ne pouvait pas assurer son cours... C'?tait ? cause d'un horrible d?mon dont je ne peux me d?faire !
La police a men? une enqu?te dans mon quartier, suite au meurtre. Mes parents me laissaient regarder les informations, et je voyais l'avanc?e de l'enqu?te. Comme aucune trace de coupable n'avait ?t? retrouv?e, ils en ont conclu que mon institutrice s'?tait suicid?e. Quand cette information est sortie de la t?l?vision, Elle ?tait l?. ?a l'a bien fait rire. Elle a trait? les enqu?teurs de tous les noms imaginables.
Moi, j'avais envie de lui lancer la fourchette que je tenais, mais Elle n'aurait pas ?t? bless?e. Et ?a n'aurait fait qu'aggraver la situation en alarmant mes parents, alors je n'ai rien fait.
Apr?s ?a, pendant des ann?es, j'ai eu horriblement peur de parler aux autres. Je suis devenu plus distant envers tous mes amis, m?me mes parents. Je suis devenu, au fil des ans, tr?s solitaire. Et j'ai, de fil en aiguille, fini par ?tre rejet? de beaucoup de monde. Mais je m'en fichais : au moins ils survivraient.


?a ne l'a pas emp?ch?e, ? Elle, de revenir me parler par la suite. Elle me murmurait toujours ce que j'avais besoin de savoir. ? chaque fois, sa voix semblait plus malsaine, plus cruelle. J'ai m?me fini par en faire des cauchemars, pendant un temps. J'ai vite arr?t?, gr?ce ? l'habitude.

Plus les jours passaient, et plus je sentais en moi cette col?re de voir les gens ensemble et heureux. Je me suis mis ? d?tester les gens normaux.

Plus je les voyais, plus je ressentais du d?gout. Et quand ils se sont mis ? se moquer de moi, le petit gars qui reste toujours tout seul dans son coin, je les ai encore plus d?test?s. Alors que j'essayais de les prot?ger d'Elle, ils me ridiculisaient, me traitaient en moins que rien et me rendaient la vie encore plus impossible jour apr?s jour.

Chaque soir, Elle revenait et avant de me murmurer mon avenir, Elle me provoquait. Elle me r?p?tait, parfois m?me plusieurs fois, que la seule fois que j'avais parl? d'Elle ? une personne, elle ?tait morte. Elle me rappelait si souvent que j'avais fait tuer madame Lafleur que j'ai fini par ne plus m'en sentir coupable.
J'ai quand m?me r?essay? d'en parler ? quelqu'un, juste une fois, pour voir, en humanit?. C'?tait mon meilleur ami de l'?poque, Christophe. Enfin, "meilleur ami"... il se disait comme tel ? et ce n'?tait pas difficile, vu le peu d'amis que j'avais - mais d?s qu'il pouvait m'abandonner pour draguer une minette ou rejoindre un groupe de gars plus branch?s, il n'h?sitait pas.
Je ne l'appr?ciais pas vraiment. En fait, je crois que je le d?testais encore plus que les autres. Il ?tait hypocrite, vantard et idiot. Si Elle devait revenir et le tuer, ce qui ?tait plus que probable... Il ne me manquerait pas, ni ? personne d'autre.
Je l'ai tir? ? l'?cart, et je lui ai tout racont?. La voix dans ma t?te, ce qu'Elle me disait, depuis quand ?a durait, comment je savais ce qui arrivait de grave ? telle ou telle personne... Il a sembl? sceptique, jusqu'? ce que je lui r?v?le que sa m?re ?tait lesbienne, et l'avait eu par f?condation in vitro, et que c'?tait pour cette raison que personne ne voyait jamais son p?re lors des r?unions parents-enseignants. Et ce secret-l?, Christophe ?tait le seul ? le connaitre. Seul, avec la voix qui me parle... Et de ce fait, avec moi.
Il m'a quitt?, bl?me, ?tonn?, boulevers?. Sans doute effray?, aussi. Mais je ne lui avais bien entendu pas dit ce qui arrivait quand j'en parlais. En fait, j'?tais intimement convaincu que ?a n'avait pas cess?. Je savais que je l'avais condamn? ? la mort. Bizarrement, j'en ?tais presque... Heureux.
Il ne m'a pas envoy? de message de la soir?e, m?me pas pour me traiter de "fils de pute" ou encore de "d?bile", comme il avait l'habitude de le faire. Ce n'?tait pas m?chant, c'est ce qu'il disait. C'?tait "juste pour rire". Moi je n'aimais pas trop cette habitude. Et ce soir-l?, ?a n'est pas arriv?. ?a n'est plus jamais arriv? d'ailleurs : le lendemain, il s'?tait tranch? la gorge avec un couteau de boucher.
Elle l'avait tu?, lui aussi. Elle lui avait murmur? de mourir, et il l'avait fait.
Mais Elle n'est pas revenue me le dire, cette fois. Elle savait bien qu'au fond, je voulais ce qui ?tait arriv?. Quand Elle est revenue me murmurer mon avenir, plus tard dans la soir?e, jamais Elle ne m'a sembl?e aussi douce avec moi. Elle avait l'air contente...
D'ailleurs, parfois, quand je parle de cette mal?diction ? quelqu'un que je n'aime pas, pour qu'Elle vienne mettre fin ? ses jours ensuite, j'ai l'impression de voir sa silhouette du coin de l'?il, qui me regarde. Elle semble toujours au bord de l'extase...

Voil?, cher journal, ce que je devais ? ce point te dire. Tu comprends maintenant pourquoi tu es le seul ? qui je pouvais parler librement.
Le seul qui ne disparaitrait pas myst?rieusement apr?s avoir tout entendu. Un v?ritable confident, tu vois le genre ?
Et maintenant, je dois bien entendu veiller ? ce que personne ne te d?couvre. Elle est toujours l?, tu sais. Et si quelqu'un te lisait...
Elle le tuerait...
Hum.
 

Erie started walking back and stopped.
She thought to herself: I should be more social with people, I should stop being such a bch and stary being more social.
Zeus waited for Erie to return with him listening to the group in the background. He was behind everyone, not really listening.

- - - Post Merge - - -

That was from a roleplay I'm doing!
 
Faut pas pousser m?m? dans la goutte d'eau qui fait d?border l'aiguille dans la botte de foin de midi a 14h ptn.

I DON'T EVEN KNOW HOW TO EXPLAIN.
 
This is what I get: You're walking in the woods.
There's no one around,
And your phone is dead.
Out of the corner of your eye you spot him,
Shia Labeouf.

He's following you
About 30 feet back.
He gets down on all fours and breaks into a sprint.
He's gaining on you.
Shia Labeouf.

You're looking for your car,
But you're all turned around.
He's almost upon you now
And you can see there's blood on his face!
My god, there's blood everywhere!

Running for your life
(From Shia Labeouf.)
He's brandishing a knife.
(It's Shia Labeouf.)
Lurking in the shadows
Hollywood superstar Shia Labeouf.
Living in the woods,
(Shia Labeouf.)
Killing for sport,
(Shia Labeouf.)
Eating all the bodies
Actual, cannibal Shia Labeouf.

Now it's dark and you seem to have lost him,
But you're hopelessly lost yourself.
Stranded with a murderer,
You creep silently through the underbrush.
A-ha! In the distance,
A small cottage with a light on.
Hope!
You move stealthily toward it,
But your leg! AH! It's caught in a bear trap!

Gnawing off your leg,
(Quiet, quiet.)
Limping toward the cottage,
(Quiet, quiet.)
Now you're on the doorstep,
Sitting inside, Shia Labeouf.
Sharpening an ax,
(Shia Labeouf.)
But he doesn't hear you enter,
(Shia Labeouf.)
You're sneaking up behind him.
Strangling superstar Shia Labeouf.
Fighting for your life with Shia Labeouf,
Wrestling a knife from Shia Labeouf,
Stab it in his kidney.
Safe at last from Shia Labeouf.

You limp into the dark woods,
Blood oozing from your stump leg.
But you have won.
You have beaten Shia Labeouf
 
tumblr_n4lj6mR5q81rqd8tjo1_1280.png
 
So, Even though we won more game, we lost because we weren't as popular? That is complete abd utter bull****. It should based on wins, and the popularity should have been a tiebreaker if both team performed equally.
 
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